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Bienvenue dans mon Univers Angélique.

Bienvenue dans mon Univers Angélique.

APPEL VERS UN MONDE DE DOUCEUR!!! Je suis un canal ouvert à la source divine. Ce blog parlera de mes connaissances, expériences et de pratique vers un cheminement spirituelle dans ma progression d’artisane de lumière. Dans le partage avec tous pour créer un monde de paix et d'amour.... Vous et moi avançons ensemble main dans la main pour accomplir notre mission sur la terre bleue. Avec l’amour de DIEU et de nos guides divin de lumière angéliques….

Publié le par KATE
PARDONNER SE PARDONNER A SOI MEME!!!

Je ne peux pas changer le passé, mais je peux, avec l'aide de Dieu, changer mes pensées et mes sentiments, je peux changer mes fonctionnements. Cela change même mes larmes.

'OUI je suis responsable aujourd'hui de ce que je fais de ma blessure''

Pardonner c'est changer mes croyances et renoncer au mensonge
‘' OUI, je veux vivre dans la vérité.''

PARDONNER, c'est arriver jusque là, et c'est alors que le processus de guérison peut commencer. Il peut commencer parce que je me suis libéré des liens de la colère et de l'amertume qui entretenait le souvenir et donnait vie à mes blessures.
Le pardon est nécessaire à la réconciliation !
On ne va jamais loin dans la relation sans l'exercice du pardon.

Je sais que je ne pourrai jamais construire de relations profondes et durables si je ne sais pas pardonner.

Le cœur de Dieu est prêt à la paix et à la réconciliation.

Le fruit du pardon c'est cela :

 Un cœur qui est préparé, apaisé, disposé à la grâce même si la réconciliation n'est pas possible. Le pardon est une démarche intérieure et personnelle, indépendante de l'attitude de celui qui nous a offensés.
Comment je comprendrais que Dieu me pardonne, si je ne pardonne pas ?
Comment ferais-je avec ceux qui sont morts? On peut leur pardonner, mais on ne peut pas se réconcilier avec eux, sinon d'une réconciliation intérieure qui est très réelle.

Le pardon n'est pas perçu dans notre société comme une valeur positive. Il est vu comme un acte de faiblesse. Mais la faiblesse c'est de rester dans la prison de ses ressentiments, de l'amertume, de la colère.

Pardonner c'est un acte de puissance qui nous fait ouvrir les portes de nos prisons. Pardonner c'est devenir libre.

Le pardon est une puissance pour la liberté.
J'ai de la peine pour ceux qui sucent le poison de l'amertume, pour ceux pour lesquels brûle, à l'intérieur, le feu de la colère. Je sais qu'ils sont malheureux. Je sais qu'ils se détruisent et détruisent les autres. Si vous laissez les blessures tisser ces pensées et émotions négatives, vous allez passer à côté de votre vie. Vous ne saurez pas construire les vraies relations dont vous avez tant besoin.


Prière de confession : "Oui Père, dans ma condition de personne blessée, j'ai péché. Mon cœur s'est rempli de colère, de rancune, de méchanceté. Je confesse cet état d'esprit. Au nom de Jésus, je te prie de me pardonner et de me libérer. Je dépose mon péché au pied de ta Croix. En te soumettant mon péché, je me détourne de la voie que j'ai chérie et à laquelle je me suis attachée et je renonce à mes mauvais sentiments. Je reconnais que je n'ai pas le droit de rester amer envers ceux qui m'ont blessé. Je veux leur faire grâce. Je te prie de m'accorder la grâce de remplacer mes réactions naturelles par le fruit de ton Esprit.''

Comment pardonner à ceux qui m’ont déçu, trahis ou blessés ?

Décider de ne plus souffrir !

Si l’offense ne cesse pas, aucun processus de pardon ne peut s’enclencher.

Mais comment y mettre un terme ? Face aux coupables qui a trahi sa parole…

Je peux perdre mes moyens, paralysée par ma souffrance.

La première étape consiste donc à décider de ne plus souffrir, à sortir de la violence subie.

Quitte à prendre du champ et à mettre de la distance entre moi et les responsable de ma douleur. Dans ce cas particulièrement graves, lorsque mon intégrité physique ou psychique est en jeu, déposée une plainte en justice peut être un moyen de franchir cette première étape et de mettre le coupable face à ses responsabilités. Pardonner à un agresseur n’empêche pas de porter plainte !!!

« On ne peut pardonner que ce que l’on peut punir ». La justice, rendue au nom de la société, objective la faute, reconnaît la blessure et désigne le coupable, mais seule la victime, si elle le souhaite, peut pardonner.

Reconnaître que la faute existe !

Le passé ne s’efface pas. Inutile que je cherche à oublier l’offense.

Ce mécanisme de défense enfouit ma souffrance, la haine et la rancœur quelque part dans mon inconscient,
où leur force destructrice continue d’opérer avec encore plus de violence.

Reconnaître l’agresseur comme coupable d’une faute, c’est d’abord une nécessité pour soi, pour vivre.
Cela permet,

« Retourner la culpabilité à l’agresseur et, ainsi, de renouer un lien avec soi-même ». Cela pourra aussi nous éviter de développer des maladies psychosomatiques, ou des conduites d’échecs professionnels et affectifs à répétition.

Exprimer sa colère !

Cette phase est le pivot de la guérison car elle permet d’exprimer la colère et de transformer, avec l’aide du thérapeute, cette énergie en motivation. "" C’est la phase qui a été la plus difficile pour moi, je ne pouvais trouver en moi les ressources pour me mettre en colère de façon constructive. " La colère nous met en contact avec notre souffrance. Et reconnaître celle-ci nous permet de mesurer combien nous aimons ces gens qui nous blessent, même si ce sont des étrangers. Il n’est pas rare qu’à ce stade des personnes aient alors une expérience spirituelle et vivent un amour universel insoupçonné.

Pour pardonner, la victime doit en vouloir à son « bourreau », c’est-à-dire reconnaître sa propre souffrance et accepter qu’elle « sorte ». Agressivité, colère, voire haine sont utiles dans un premier temps. Elles sont signe de bonne santé psychique, signe que la victime n’est pas dans le déni et ne porte pas la faute de l’agresseur sur elle. « La haine est un sentiment très violent, que l’on ne peut pas faire disparaître. Si l’on n’est pas capable de la retourner contre son agresseur, on la dirige nécessairement contre soi », au risque de déclencher un processus d’autodestruction. Exprimer directement sa colère, sa haine ou ses reproches à son agresseur est rarement envisageable : le coupable peut ne pas se reconnaître comme tel, ou exercer une emprise trop forte sur la victime pour qu’elle ose l’affronter.

Il est quand même possible de faire un travail de détachement en soi : écrire dans un cahier tout ce qui nous anime, s’ouvrir à une personne de confiance ou encore consulter un psychothérapeute si la situation est trop douloureuse.

Renoncer à son droit de s'accrocher à sa douleur, à son ressentiment, et à sa colère :

 Même si j’ai eu très mal, mon désir de vouloir pardonner doit me pousser à pas négliger la douleur que je ressens, le mal que j’ai subi, la claque qu'il m’a été donnée et encore, le poignard qu'il m’a été planté dans le dos. Ne plus penser au mal que je ressens et me concentrer plutôt sur ma volonté de pardonner.

Cesser de se sentir coupable !

La plupart des victimes se sentent paradoxalement coupables de ce qui leur est arrivé. Tenter de savoir quelle part de nous-mêmes a été blessée va permettre de relativiser ce sentiment et la souffrance qui l’accompagne. Est-ce notre orgueil, notre réputation, notre honneur, notre intégrité physique ?

 Répondre à cette question peut aider à « se disculper, c’est-à-dire à reconnaître que sa responsabilité n’est pas engagée Il s’agit alors de se détacher de son moi idéal, cette image fantasmée de nous-mêmes et de sortir de la litanie

« Je suis impardonnable de ne pas avoir agi différemment ».

Se pardonner à soi-même peut se révéler indispensable pour continuer à vivre.

Arrêter de se blâmer soi-même !

"S’en vouloir et se sentir responsable de ce qui nous arrive est un bon moyen de se donner l’illusion qu’on contrôle la situation"

Il est essentiel de sortir de cette phase parce qu’elle nourrit des comportements autodestructeurs. Celui qui est convaincu que s’il avait fait ceci ou dit cela, la situation se serait améliorée, est emprisonné dans son propre jugement. La réalité est que s’il avait pu – ou su – faire autrement, il l’aurait fait. "Le blâme de soi-même est l’un des plus puissants destructeurs de l’estime et de l’amour de soi…

Sortir du rôle de victime !

Restée longtemps dans ce rôle de victime, J’y prenais comme un malin plaisir que  j’allais si mal. Une belle excuse pour ne pas avancer dans ma vie. Je restais ainsi des heures chez moi dans le noir à pleurer sur mon sort. " Comment a-t-on pu me faire une chose pareille ? Est le mantra privilégié de l’éternelle victime. Dans cette phase, il n’y a plus aucune prise de responsabilités, d’ailleurs beaucoup s’enfuient " Pardonner qui ? Pardonner quoi ?

" C’est une phase antipathique, mais il est essentiel de la passer. Sinon la guérison et le pardon véritables ne peuvent avoir lieu. C’est ce que mon expérience m’a enseigné. "

Comprendre celui qui nous a blessés !

Haine et ressentiment peuvent aider à survivre à une agression, mais à long terme, ils nous détruisent. Pour en sortir, il est utile d’essayer de se mettre dans la peau du coupable. Cela donne du sens à l’acte qui nous a fait mal, et dans une certaine mesure, le rend « acceptable ». Comprendre les motivations du coupable ne vise surtout pas à l’excuser, mais à reconnaître ses faiblesses. Le philosophe Paul Ricœur appelait ainsi à « ne pas limiter un homme à ses actes, aussi monstrueux soient-ils ».

Prendre conscience que l’on a eu mal !

En effet, pour être conscient de sa douleur, encore faut-il la ressentir. Or, pour l’éviter, nous développons mille stratagèmes : on oublie, on rationalise, on normalise.

Oublier est l’un des systèmes de survie le plus efficace. Quand l’événement est trop insupportable pour notre conscience, nous choisissons de l’éliminer, nous prétendons qu’il n’a jamais eu lieu… Jusqu’à ce que nous soyons capables de le gérer. Pour pardonner à quelqu'un, il nous faut reconnaître que nous avons été blessés intérieurement. Si nous nions notre mal, alors nous aurons du mal à commencer le processus du pardon. Plusieurs disent : « Non, je ne suis plus fâché » ou « J'ai pardonné », mais leurs attitudes envers l'autre les trahissent et on voit qu'ils n'ont pas encore pardonné.

 "Sortir de cette phase est difficile car elle offre un certain confort. Cela aurait pu être pire", "C’est une vieille histoire", "Ça m’a rendu meilleur"… Autant de phrases que l’on se répète pour continuer à fonctionner. Sauf que l’ignorance s’apparente à une anesthésie générale : quand on endort une émotion, on risque de les endormir toutes.

Prendre son temps !

Pardonner, c’est tout sauf passer l’éponge. Un pardon accordé trop vite ne soulagera personne. Il est conseillé d’attendre qu’il s’impose, presque de lui-même, de

 « Laisser passer le temps tout en étant actif dans le processus »,

Un pardon accordé trop rapidement peut être perçu par le coupable comme une absolution. Pardonner sans cette attente serait un leurre pour la victime, qui éprouverait encore du ressentiment, même inconsciemment. Et le danger serait, une fois de plus, que cette illusion de pardon se retourne contre la personne blessée.

Redevenir actrice de sa vie !

Comment savoir si nous avons vraiment pardonné ?

 Lorsque nous ne ressentons plus ni colère ni rancœur à l’encontre de celui qui nous a fait souffrir,

« Lorsque tout sentiment
de culpabilité pour ce qui s’est passé a disparu », on peut considérer que l’on a pardonné. Un autre signe indubitable que le pardon a été accordé « le passage à l’acte, qui conduit au retour de la mobilité dans sa vie ».

 Le pardon est souvent un acte libérateur dans lequel la douleur se dissout et qui permet à l’offensé de redevenir acteur de sa vie, de ne plus subir, voire même de revenir plus fort.

« Pardonner, c’est s’agrandir, c’est laisser en soi la place pour accueillir l’autre.

Le vrai chemin de la libération, c’est de franchir le pas qui permet d’aller au-delà du pardon

Pardonner pour se libérer !

Humiliation, trahison, perte d’un être cher…Même si l’on a beaucoup souffert, il faut pardonner. Pour soi. Pour se délivrer de sa dette de haine. Un cheminement intérieur.

 Pardonner ne signifie pas oublier. Au contraire, il faut se souvenir de l’offense pour pardonner. Mais, à l’inverse de la vengeance qui refuse l’oubli pour inscrire éternellement une dette de haine, le pardon nous délivre d’elle, nous libère d’un passé qui n’arrive pas à passer. D’où son utilité pour chacun tout au long de la vie.
" Pour me sentir vivante, retrouver en moi la paix !

Le nouveau pardon se pratique d’abord pour soi. Il est pragmatique, quotidien, intérieur. Il peut d’ailleurs se travailler seul. C’est un antibiotique qui permet d’annuler l’effet d’une bactérie appelée autocritique, jugement, rancune ou culpabilité, tous ces sentiments qui nous pourrissent la vie. C’est un état intérieur auquel on accède après un travail parfois long, souvent difficile, parce qu’il nous oblige à nous remettre en cause, à assumer notre part de responsabilité, à prendre le risque d’avoir encore mal, à accepter nos limites et celles de l’autre.
Pardonner, ce n’est pas valider ni excuser. Ce n’est pas prétendre que tout va bien et serrer les dents. Ce n’est pas une faveur que nous accordons ou une autorisation à recommencer. Ici, l’important n’est pas de savoir si ce qu’on nous a fait est bien ou mal, si Le " coupable " mérite d’être puni ou pas.

Ce qui compte, c’est de pardonner pour soi afin d’être plus heureux.

Se confronter à l’autre !

étrangement, cette phase est optionnelle.  Dans certains cas, elle est essentielle. Dans d’autres, pas nécessaire. Puisque le pardon est un processus que l’on fait pour soi, la confrontation avec les personnes concernées n’est pas une obligation. La recommander quand toute communication a cessé. Le pardon, quand il se vit ainsi, dans l’intimité des cœurs, est indéniablement un acte de liberté intérieure hors norme et hors dogme. Il devient aussi la marque d’une certaine force qui atteint autant ceux qui le donnent que ceux qui le reçoivent.

Le pardon est défini comme le fait de vaincre ou surmonter son ressentiment envers un offenseur. Le ressentiment peut être la colère, la haine, une douleur ou une blessure intérieure, la rancœur, le dégoût, la frustration, la vengeance ou l'envie de se suicider.

Désirer de se réconcilier avec l'autre : Les tentatives de réconciliation nous aident vraiment à accélérer le processus du pardon. Les tentatives peuvent être : Recommencer à parler avec cette personne sans se plaindre du mal qu'elle vous a fait, lui offrir un présent, lui dire des mots doux l'aider à faire quelque chose, l'inviter à partager quelque chose ou pourquoi pas prier pour elle ?

Lancer à celui qui nous a offensés une invitation à reconstruire la relation à travers l'expression de l'amour inconditionnel et de l'acceptation :

En clair, manifester l'amour qui pardonne tout et qui supporte sans attendre quelque chose en retour. Effacer les fautes de l'autre envers nous et l'aimer malgré tout. Si notre offenseur recherche à se réconcilier avec nous ou à se faire pardonner, n'hésitons pas à saisir cette occasion pour rétablir la relation.
C'est vrai que ces étapes ne serviraient pas à grande chose si celui ou celle qui nous a offensés ne demande pas pardon ou ne manifeste pas un sentiment de regret ou une attitude de repentance par rapport à nous. Dans ce cas, nous devons malgré tout et en toute humilité manifester le désir de pardonner et avec l'aide de la prière et du Saint Esprit de Dieu, nous pourrons arriver à pardonner. La haine n'est pas de Dieu, c'est un sentiment qui détruit et qui peut créer de sérieux blocages dans nos vies.

LES RAISONS POUR LESQUELLES NOUS DEVONS PARDONNER !

La Paix : Haïr une personne ne peut procurer de la paix à celui qui hait. Quand on en veut à une personne, nous ne pouvons avoir la paix du cœur. Le Pardon procure la paix, il libère notre cœur d'un sentiment qui ne lui fait pas du bien.

Pardonner c'est aimer : Dans la Bible en 1 corinthiens 13 en son verset 7 , il est écrit que :  « L'amour excuse tout ». Excuser une faute, c'est la pardonner à quelqu'un. Alors, si nous n'arrivons pas à pardonner à une personne, c'est que nous n'aimons pas vraiment cette personne, pendant que la Bible nous recommande d'aimer notre prochain.  Matthieu 22:39

La vraie communion : Sans pardon, ni un couple, ni deux amis, ni non plus une communauté ne peut expérimenter une vraie communion. Lorsqu'on a dans son cœur encore un sentiment contre son frère ou sa sœur, il est impossible de communier convenablement avec cette personne.

Pardonner pour être pardonné : Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. Matthieu 6:14.
Nous les hommes, nous commettons tellement d'erreurs. Nous sommes infidèles et pécheurs, mais lorsque nous nous approchons de Dieu pour qu'Il nous accorde son PARDON, IL le fait sans hésiter. Pourquoi avons-nous du mal à notre tour à pardonner à ceux qui nous font du mal ?

Pardonnez et vous serez pardonnés !

 

PARDONNER SE PARDONNER A SOI MEME!!!
PARDONNER SE PARDONNER A SOI MEME!!!
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C
Merci pour votre site qui me plait même si je ne me suis pas retrouvée. Mon problème est que je m'en veux non pas d'avoir blessé quelqu'un mais d'avoir eu un comportement négatif vis à vis de moi, très négatif. Et donc vis à vis de Dieu. Je me suis repenti sincèrement. J'ai même vu un prêtre qui m'a donné l'absolution mais je ne parviens pas à faire la paix avec moi-même malgré tout. Je m'en veux beaucoup. Je sais que je n'arriverais à rien comme ça mais j'ai du mal à me pardoner. De temps j'y arrive mais je suis vite rattrapée par la culpabilité. Que faire ? Merci de votre réponse.
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K
bonjour Christelle je viens de lire votre commentaire ,déjà vous avez fais la démarche et reconnu votre action et cela est déjà vraiment très bien ,je pense que vous trouverai la paix en vous lorsque vous aurez enlevez votre culpabilité et lâcher prise sur la situation et là vous retrouverai une vrai paix intérieur et une vrai libération,continuer a prier le monde angélique vas vous aidez a faire ce travail intérieur demander leur aide.merci de votre confiance et je vous envoie des pensées d'amour angélique que dieu veille sur vous.
M
bonjour<br /> merci pour ton expérience, très utile pour moi qui commence un travail d'autopardon avec la lumière du seigneur pour m'aider dans ma démarche<br /> que dieu te bénisse<br /> Marie.F
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K
Bjr, c'est super important ce sujet et tres delicat! Merci à vs pr ces ecrits si riche et important pr chacun de ns...
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K
Merci a vous tous de me partager vos avis et vos pensées dans les lectures de mes articles cela me touche profondément que le monde angélique vous entoure tous en ce jour de lumière d'amour.
H
Merci Kate pour ce très enrichissant descriptif du pardon. C'est un cheminement long. J'ai pris conscience très récemment qu'il est plus difficile de se pardonner à soi-même qu'à l'autre. Et pardonner à l'autre ne peut fonctionner sans s'être pardonner à soi d'abord.
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K
bonjour heather ho oui le cheminement est très long mais s’enrichit par cette expérience de sa reconnaissance a soi en ce pardonnant que nous somme humblement humain.....

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